Objets de départ

Harley Davidson shadow: Robe noire, voile métallique, éclat divin ou démoniaque selon le jour ou la nuit. Suspensions parfaites, cavalière de tous les instants, son moteur est caractéristique, j’pourrais presque le reconnaître entre dix. Que dire. Elle est parfaite.

Trousse de secours : Il y a le strict minimum dedans compresses, bandages, pansements, alcool médical, gants en latex, ciseaux médicaux, bombe rafraîchissante (azote), du fil médical et une aiguille. Et plein d’autres trucs.

Coup-de-poing américain & plein d’autres armes: Pratique à enfiler, agréable à porter. Bon, j’vais arrêter les digressions, c’est un coup-de-poing américain quoi. Ça fait mal vite et fort. C’est l’important. Quant aux autres armes, peut-être que j’en ai un peu trop chez moi… Mais heh. That’s not important. Du moment que j’ai mon permis de port d’armes… Minute… Il est où… ?

Capacités et Particularités en détails

Ancien motard : Ancien délinquant, c’est sûrement pour ça que je sais aussi bien me battre et fuir face aux flics. Armes blanches, armes à feu, j’ai touché à tout dans ma vie. … … …. J’vous vois sourire derrière votre écran, vous savez ?

Sang-froid: Dans un film d’horreur, y a toujours un gars qui dit « calmez-vous, ne paniquez pas. » Eh bin, ce gars, c’est moi. Peu importe la situation, je reste toujours calme et réfléchi. C’est pour ça que c’était moi qui faisait tous les plans dans le gang avant. Vous allez me dire, dans ce cas pourquoi tu fumes ? Eh gamin, j’t’en pose des questions de pourquoi tu mets du gel dans tes cheveux ? Parce que t’a envie ? Bah pareil pour moi.

Dragueur professionnel: … ? Hein, vous me demandez filles ou mecs ? Les deux mon capitaine. J’aime bien m’amuser et passer mon temps, voilà tout… Un problème à ça ? Faut dire que j’ai le don pour séduire, j’aime ce sentiment de chasse, de désir… Vous avez lu Dom Juan ?

Connaissances en médecine : Pratique d’avoir eu la plus belle et la plus talentueuse des médecins comme femme. Elle m’a beaucoup appris durant les plus belles années de ma vie.

Physique

Hm… Encore un peu… Juste encore une minute ou deux… Une main se glisse doucement sur ma joue, quelqu’un dépose un doux baiser sur mes lèvres. J’ouvre les yeux et vois ma déesse. Celle pour qui j’ai tout laissé. Celle… que j’aime. Elle sourit tendrement avant de sortir de la chambre, heureuse d’avoir réussi son coup. Perdu, je n’ai pas tenu… Je me relève lentement et m’approche de mon reflet encore trouble… Wow j’ai une gueule de déterré ce matin. Déjà, la journée est rythmée de cris et de rires d’enfants, je souris alors à mon reflet. Je passe une main dans mes cheveux sombres. Il fallait être impeccable pour tenir une audience en haleine… J’avais préparé mon plaidoyer ou pas ? Au pire… j’improvise. Je passe un peu d’eau sur mon visage mat, surtout sur mes paupières pour que je puisse mettre mes lentilles de contact. Transparentes, pour laisser ma couleur naturelle visible… Ambré. Ambré sombre plus précisément. Faisant volte-face, j’observais l’un des récents tatouages que j’avais fait. J’en avais pas mal… J’vais pas tous les énumérer non plus…

Je posais ma main sur une chemise blanche, une cravate. Trop strict… Mais le boulot c’est le boulot… Bon sang, si mon père me voyait… Ah, on s’en fout. Observant une dernière fois ma silhouette musclée sous la chemise blanche, je finissais de mettre le costard. J’avoue que je préfère largement les chemises noires, plus de confort, de liberté de mouvements… Et plus de classe aussi, faut l’avouer. Je mettais mes chaussures avant qu’un missile enfantin sauvage ne vienne sur moi. June… Je souriai. Mon ange… Je la pris dans mes bras et la soulevai sans aucune difficulté. Après tout, si je pouvais soulever ma femme, pourquoi ne pourrais-je pas prendre dans mes bras ma fille… Ahem.

La petite souriait en se blottissant contre moi. Elle touchait ma peau de ses petites mains froides, elle était adorable. Elle me dit au revoir, comme tous les matins, comme tous les soirs. Je la gardais tendrement, puis la laissais aller jouer avec son frère. Parfois, elle ne supportait pas de me voir partir. Alors je restais un peu… Et me faisait engueuler par le juge. Les aléas de la vie… Je m’approchais de la porte et levais la main en guise de salut après avoir pris Tristan dans mes bras. Suivi de June qui , visiblement, ne supportait pas que je parte. Souriant, je partais ensuite en refermant la porte et me tournant vers un autre monde bien moins agréable.

Mental

Une description mentale ? Qu’est-ce que c’est que… Vous voulez vraiment tout savoir sur moi ? Bon… D’accord, si vous insistez. Je suis médecin de profession, ma femme est avocate, elle est encore en vie et est la plus laide de toutes les femmes… Pourquoi je me suis mis avec déjà ? Ah oui. J’ai été forcé par mes parents à sortir de chez eux, alors j’ai fait l’inverse. Je suis resté chez eux jusqu’à ce que je trouve quelque chose à faire de ma vie. Mes parents voulaient une vie instable pour moi, j’ai jamais beaucoup apprécié la liberté. C’est vrai, comment pourrions-nous apprécier un tel droit ? La liberté est détestable. Oui. Pour affiner un peu ma personnalité, je dirai que je suis un « coincé du cul ». Fricoter à droite, à gauche, très peu pour moi. Le jeu de la séduction… Quel ennui. Quelle horreur même !

Bien, maintenant que vous me connaissez un peu, je vais être plus précis. Je déteste mes enfants. Les voir me donne envie de… de me crever les yeux. N’est-ce pas horrible de penser ça ? Ahem, pardon, vous aviez dit de me présenter. Tuer ne me poserai pas de problème, je peux faire n’importe quel sale boulot. Après tout, c’est facile de tuer, la vie humaine est si peu importante, vous ne trouvez pas ? Ceux qui pleurnichent et se laissent faire ont bien raison. Rester faibles, voilà leur raison d’être. Qu’est-ce que je pense de ma famille ? Voilà, on entre dans le vrai sujet ! Une famille en général doit être dessoudée. C’est vrai, quand on dit l’union c’est la force, c’est des conneries ! Détruire tous les rêves des gosses, détruire tous leurs espoirs… C’est ça mon but… Bordel, je vais faire croire ça à qui moi ? Quoi ? Vous connaissez l’ironie ?

Liberté, Jeu, Intelligence, Détermination, Protection, Réflexion, Blague, Séduction, Charité, Calme, Ouverture d’esprit, Casse-cou, Provocation. Autres questions ? Une seule règle : J’fais ce que je veux, quand je veux. Et celui, qui ose me dire quoi faire, il finira avec un flingue sur la tempe. Je ne le tuerai pas. Tuer, c’pas mon truc. Mettre la pression avec un calme olympien, voilà ce qui est amusant.

Histoire

[L'histoire est volontairement résumée et courte ♥]

Animé par l’amour de la liberté, le jeune garçon observait d’un air de défi son père lui ordonner de rentrer dans le droit chemin. Coups de feu au dehors, rires au dedans. Sam n’allait pas se laisser faire, tout ce qu’il voulait c’était être libre, faire ce qu’il désire, sortir avec des amis, séduire des nanas. Pas être enfermé dans un bureau à gérer de la paperasse… J’ai une gueule de secrétaire, vieux ? Son père lui décrivait un avenir parfait en devenant médecin et une descente aux enfers s’il décidait de sortir à nouveau avec des amis. Les études ? Un avenir stable ? Être enfermé ? Tu veux pas que je te cire les pompes non plus ? Le pire dans cette histoire, c’est que sa mère était du même avis. Elle ne voulait pas d’un mauvais avenir pour lui. Mais qui devait donc choisir, eux, ou lui ? Après tout, c’était sa vie, pas la leur. Son amante première était la liberté, il aurait tuer pour elle, chaque nuit, il rêvait de voler, de partir loin de l’enfer et de vivre SA vie. Une vie pleine de rêves, d’illusions. Pour oublier un quotidien insipide aux allures d’esclavage et de tortures sanglantes. L’alcool. Un fléau. Surtout pour sa mère qui devait danser avec son père par la suite. Sans doute son père ne voulait-il pas que Sam devienne comme lui ? Tch. Marre de tout ce bordel. Une clope au bec, il grimpa sur le balcon de son appartement en observant pour la dernière fois sa ville. Demain il partirait. Demain, il serait libre. Demain, il serait lui-même.

Pas un mot, pas une annonce, plus rien. Son sac était fait, sa vraie famille était venue pour le récupérer. Son groupe, ceux qui étaient prêts à tout pour l’aider. Ceux qui l’encourageaient dans toutes ses démarches, toutes ses idées. Ils l’avaient accueillis depuis longtemps déjà. Sam était heureux avec eux. Libres comme l’air, aidant les plus démunis, les plus tristes, les malheureux. Recherchés par la police, ils arrivaient toujours à s’en sortir. C’était l’intelligence de Sam qui les tirait souvent d’affaires. c’est pour ça qu’il était devenu le bras droit du chef. Était-il le manipulé ou celui qui tirait les ficelles derrière ? Bonne question. Qu’importe. Le tout était que personne ne soit blessé ou tué. Refusant même les affaires de la mafia, on traîne pas avec les mafieux. Trop dangereux. Pas prudent du tout. Quoi ? La prudence ? Il était prudent pour les autres, pas pour lui foncièrement. Aussi bien dans sa vie que avec les nanas. C’est peut-être pour ça qu’il s’est retrouvé avec un gosse sur les bras...

Un jour… il la vit. Elle. La femme de sa vie. Sa beauté était incommensurable. Un numéro dans la poche, des rêves dans la tête. Sam souriait en s’imaginant aux bras d’une femme. Elle ne quittait plus ses pensées. Il ne pouvait plus la quitter non plus. Elle avait tout. Tendresse, beauté, intelligence, gentillesse, bienveillance, sérieux, détermination, elle était parfaite. Parfaite. Tous se foutaient de Sam, d’ailleurs, lorsqu’il leur annonça qu’il quittait le gang de motards. Pour une nana. Qu’est-ce qu’il y a de plus ironique, sérieux ?

« Toi ! Sam ? Sérieux, une nana ? TU TE RANGES ?!
-Où est passée ta liberté, Sam ?!
-Wow, tu vas regretter ton choix tu sais ?
-Les gars, j’me range, c’est comme ça. Il faut de la stabilité et, honnêtement…
-Tu troques ta liberté pour une femme !
-Eh oh, détends-toi Will’, si tu avais une donzelle aussi belle a tes côtés, crois-moi que tu quitterais tout pour elle. »

Tous riaient pour la dernière fois. Buvaient un dernier verre. Trinquaient ensemble. Pour finalement laisser l’oiseau quitter le nid.

Tristan, June, ma déesse. Tous les quatre vivaient une vie paisible, calme, magnifique, rythmée par les cris, la tendresse et… Des études. Avocat. HAHA. Une vie stable. J’emmerde tellement mon daron. La belle nymphe ensorcelait toujours autant Sam. Son amour était immortel et tenace. Plus encore que celui qu’il vouait pour sa moto… Pour elle, il aurait tout donné. Pour elle, il aurait pu se laisser mourir. Mais vinrent l’enfer et les démons. Vinrent les flammes et les cris. Vinrent la peur et la mort. Vinrent les souvenirs et le deuil. Vinrent le silence et l’horreur. La maison familiale s’était tue. Une atmosphère macabre y régnait. Les deux étaient abattus, lui, il ne montrait rien. Il était l’exemple. Sam restait toujours de marbre face aux situations pénibles… Pourtant, à l’intérieur…

Il décida de partir, de tourner la page et d’emmener ses enfants ailleurs. Gravity Falls ? Pourquoi ? Parce que. Autre question ? Populaires, la famille tente d’oublier. L’important maintenant, c’est d’être réfléchi, et de renouer des liens. Le plus rapidement possible.

Quelques lignes sur vous

►Votre pseudo? Huh ?
►Ton âge? 1540 ans
►Comment as-tu trouvé ce forum? L’patron m’a montré la route.
►Qu'en penses-tu? J’aime bien.
►Des questions ou des remarques? J’aime les pastèques.
►Un double compte? Si oui, lequel? Herzlos, Erwin.